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La commune rurale de Tessa est l’une des onze que compte le département de Dosso, se situant au Sud.

Elle est donc limitée à l’Est par la commune de Kargui Bangou, à l’Ouest, par la commune de Farrey, au Nord par la commune de Gorou Bankassam et au sud par la commune de Dioundiou.

Elle couvre une superficie de 537 de km2    et selon le recensement général de 2012 sa population est estimée à 26 668 000 habitants.

Le conseil municipal compte 11 élus locaux dont 3 femmes auxquels et les membres de droit.

Les marchés hebdomadaires sont au nombre de cinq dont : le marché de Tessa, chef-lieu de la commune qui anime tous les vendredis, le marché de Farguedi (Dimanche), le Marché de Mamandey (Mardi), le marché de Gabikoydey (jeudi) et celui de Falwel-Tessa (Lundi).

Les principales activités auxquelles s’adonnent la population sont : l’Agriculture, l’élevage et le commerce.

Comme les autres communes rurales, Tessa est aussi confrontée au problème d’incivisme fiscal malgré les campagnes de sensibilisation menées à grande pompe.

Selon le Maire, Mr Boureima Issaka, le Plan de Développement Communal PDC de la Commune est en train d’être finalisé, il reste la dernière phase qui invite les conseillers municipaux pour sa validation, a-t-il affirmé.

Il estime que ce PDC est établi en fonction des différents domaines à savoir :  l’éducation, l’élevage, l’agriculture, et la programmation des formations à l’intention des jeunes de la commune.

Ainsi, le Maire Boureima Issaka de Tessa lance un vibrant appel à l’endroit des ressortissants à s’investir dans la construction de leur commune à l’ère de la décentralisation où le développement local doit se réaliser avec les contributions des fils et de filles du terroir.

Aussi, il appelle les Partenaires à venir exploiter ce PDC car il s’agit d’un document stratégique qui traite de plusieurs axes stratégiques inclus dans leurs programmes à mettre en œuvre.

À l’endroit de L’État, Boureima Issaka a exprimé sa profonde gratitude pour toutes les réalisations faites mais formule le vœu d’obtenir un accompagnement surtout sur dans les domaines de l’éducation et de la santé où l’affectation des agents en quantité et en qualité s’avère urgent.

Il y a aussi le manque d’infrastructures routières, a-t-il conclu.

                                       Assoumane Daouda

                                                          Mourdjanatou (Stagiaire)